Titre: Croques, tartines, paninis & co
Auteur: David Batty
Editeur: Solar Editions
Publication 2010
Nombre de recettes: 90
Emprunt médiathèque
Bagel, chorizo, olives noire et comté ̶̶̶ ciabatta, tomates confites, viande séchée et mozzarella ̶̶̶ baguette, pesto de tomate, tomates confites, jambon de Parme ̶̶̶ pain de mie, saumon fumé, brousse et baies roses...
Croque-monsieur ultramoelleux, tartines encore un peu chaudes et paninis croustillants, cet ouvrage vous propose 90 recettes originales, gourmandes et rapides pour des pique-niques sur l'herbe, des plateaux-télé entre amis, des déjeuners sur le pouce, ou encore des goûters savoureux...
Ce livre de cuisine, ce n'est pas moi qui l'ai emprunté mais bien mon chéri! Il avait besoin d'inspiration pour son travail. Car en général, je n'emprunte jamais de livre de recettes puisque je préfère l'avoir chez moi sous la main au cas où j'aurais envie de cuisiner. Mais là, à la vue du bouquin, j'ai commencé à saliver: un livre de recettes de paninis, tartines et tout! Le rêve! Car il y a bien une chose dont je raffole ce sont les sandwichs (notamment ceux avec la charcuterie miam miam).
On retrouve ici des recettes pour tous les goûts: gourmands, diététiques, végétarien, sucrés et pour toutes les occasions: les brunchs, les piques-niques, casse-croûte pour midi... C'est l'avantage du sandwich: il est facile à préparer, pas trop lourd à digérer et c'est délicieux! L'auteur des recettes ne se cantonne pas à un seul type de pain mais bien plusieurs: baguette, ciabatta, pain de campagne, pain de mie, pain burger... Mais ensuite, libre à vous de choisir le pain qui vous plaît.
Les recettes sont très simples, les prix abordables, il n'y a pas une tonne d'ingrédients et les photos qui accompagnent certaines recettes sont très modernes, épurées et donnent l'eau à la bouche!
Lepauvreetleslivres
Les chroniques littéraires de Kono
Hier, j'ai fait un peu de repérage de romans et BD et je suis tombée sur ceux-là! Un peu de lecture un peu plus mature ne me ferait pas de mal! hihi
● La boutique de la seconde chance, Michael Zadoorian
Richard dit Chiffo (ou Chiffonnier est un passionné de vieilleries, un chasseur de bonnes affaires qui écume les vide-greniers, les ventes de succession et les marchés aux puces. Un service de verres de guinguette, un caniche cache-pot, une chemise de bowling rétro, il n'en faut pas plus pour illuminer sa journée. Pour ce solitaire, chiner est un art de vivre, mieux, un état d'esprit. Il revend ensuite ses trouvailles dans sa petite boutique de Détroit, au grand dam de sa mère et de sa soeur qui désespèrent de le voir mûrir. Une vie somme toute assez bien réglée, jusqu'au jour où tout bascule. Sa mère meurt, laissant derrière elle une maison pleine de souvenirs et de photos, qui vont remettre en cause bon nombre de certitudes sur la vie de ses parents. Dans le même temps, une déesse de la fripe pousse la porte de sa boutique. Visiblement elle cherche bien plus qu'une occasion...
Comme Le Cherche-bonheur. La boutique de la seconde chance est un roman tendre et lumineux qui dévoile les grands sentiments des petites gens avec pudeur et sensibilité.
Comme Le Cherche-bonheur. La boutique de la seconde chance est un roman tendre et lumineux qui dévoile les grands sentiments des petites gens avec pudeur et sensibilité.
● Lointain souvenir de la peau, Russell Banks
A l'instar de ses pareils, hommes de tous âges et de toutes conditions que leur addiction au sexe a conduits devant les tribunaux puis relégués loin des "zones sensibles", le Kid,vingt et un ans, bracelet électronique à la cheville, a pour quartier général le viaduc Claybourne qui relie le centre-ville de Calusa, Floride, à son luxueux front de mer. Depuis toujours livré à lui-même, n'ayant pour ami qu'un iguane offert par une mère passablement nymphomane, le Kid s'est enivré de sexe virtuel jusqu'au jour où sa naïveté l'a jeté dans un des pièges où la police épingle les putatifs délinquants sexuels.
Stigmatisé par une société devenue, jusqu'à l'hystérie, adepte du "surveiller et punir", ce jeune homme en rupture suscite l'intérêt d'un certain "Professeur", universitaire à la curiosité dévorante, sociologue atypique qui, dans le cadre de ses travaux sur les sans-abri en tous genres, approche le Kid pour s'instruire de son cas et, peu à peu, semble le prendre sous son aile. Mais il apparaît bientôt que le génial Professeur pourrait être un fabuleux menteur, et un expert en identités multiples;
Par cette fiction magistrale, Russell Banks met en scène l'enfer de la "déviance" et le supplice de l'exclusion. Il exhausse à la dimension d'un récit aussi mythique que compassionnel l'aveuglement de nos sociétés saturées d'images et qui semblent avoir fait le choix – comme pour mieux s'oublier – de faire disparaître, jusqu'à la pathologie, leur corps collectif dans le rayonnement des écrans de la nuit sexuelle.
Stigmatisé par une société devenue, jusqu'à l'hystérie, adepte du "surveiller et punir", ce jeune homme en rupture suscite l'intérêt d'un certain "Professeur", universitaire à la curiosité dévorante, sociologue atypique qui, dans le cadre de ses travaux sur les sans-abri en tous genres, approche le Kid pour s'instruire de son cas et, peu à peu, semble le prendre sous son aile. Mais il apparaît bientôt que le génial Professeur pourrait être un fabuleux menteur, et un expert en identités multiples;
Par cette fiction magistrale, Russell Banks met en scène l'enfer de la "déviance" et le supplice de l'exclusion. Il exhausse à la dimension d'un récit aussi mythique que compassionnel l'aveuglement de nos sociétés saturées d'images et qui semblent avoir fait le choix – comme pour mieux s'oublier – de faire disparaître, jusqu'à la pathologie, leur corps collectif dans le rayonnement des écrans de la nuit sexuelle.
● Henderson's boys, T1: L'évasion, Robert Muchamore
Eté 1940. L'armée d'Hitler fond sur Paris, mettant des millions de civils sur les routes. Au milieu de ce chaos, l'espion britannique Charles Henderson cherche désespérément à retrouver deux jeunes Anglais traqués par les nazis. Sa seule chance d'y parvenir : accepter l'aide de Marc, 12 ans, un gamin débrouillard qui s'est enfui de son orphelinat. Les services de renseignement britanniques comprennent peu à peu que ces enfants constituent des alliés insoupçonnables.
Une découverte qui pourrait bien changer le cours de la guerre...
Une découverte qui pourrait bien changer le cours de la guerre...
● La fille du professeur, Guibert et Sfar
Trente siècles les séparent et pourtant... ils s'aiment ! Comment demander la main de Miss Liliane, la fille du professeur Bowell, quand on est perdu dans le Londres embrumé de la fin du XIXe siècle et momifié depuis trois mille ans ? Impossible, n'est-il pas ? Et pourtant, Imhotep IV, prince d'Égypte, amoureux follement emballé, est prêt à tout pour fuir avec sa bien-aimée les quais mal famés de la Tamise et rejoindre les rives ensoleillées de son Nil natal. Malheureusement, lorsque le destin et Sa Gracieuse Majesté s'en mêlent, tout s'emmêle, se complique et s'embrouille à tel point qu'on finirait par regretter le calme feutré d'un sarcophage bien capitonné.
● Combien?, Douglas Kennedy
Noël 1990. Douglas Kennedy, alors écrivain fauché de 35 ans londonien d’adoption, est de retour à New York. La raison de ce pèlerinage : l’écriture d’un livre de voyage sur l’argent et les marchés financiers. N’y connaissant rien aux actions et aux investissements, notre auteur se lance dans une quête épique, à la poursuite du Dieu argent et de tous ses disciples… .
Et Kennedy de nous entraîner à New York, dans le Wall Street des yuppies, ex-gloires des années 80 ; dans la bourse de Casablanca, vaste analogie du souk ; dans les salles de marché futuristes et surréalistes de Sydney ; à Singapour, ville-pays toute entière vouée au culte de la toute-puissance de l’argent et de la consommation ; à Budapest, en pleine transition du communisme à l’économie de marché ; et Londres, la nouvelle Jérusalem.
Une galerie de personnages riches, autant de visages, de masques et d’interprétations de l’argent. Une passionnante comédie humaine qui garde tout son sens aujourd’hui, à une époque où l’argent, même décrié, fascine plus que jamais, en restant le point de référence qui fait tourner le monde. En avoir ou pas, telle est la question…
Et Kennedy de nous entraîner à New York, dans le Wall Street des yuppies, ex-gloires des années 80 ; dans la bourse de Casablanca, vaste analogie du souk ; dans les salles de marché futuristes et surréalistes de Sydney ; à Singapour, ville-pays toute entière vouée au culte de la toute-puissance de l’argent et de la consommation ; à Budapest, en pleine transition du communisme à l’économie de marché ; et Londres, la nouvelle Jérusalem.
Une galerie de personnages riches, autant de visages, de masques et d’interprétations de l’argent. Une passionnante comédie humaine qui garde tout son sens aujourd’hui, à une époque où l’argent, même décrié, fascine plus que jamais, en restant le point de référence qui fait tourner le monde. En avoir ou pas, telle est la question…
Source: Amazon
Ouf! Je reviens sur la blogosphère après un petit moment de révisions et tout le tralala. Je suis quand même un peu fière de moi car pour une fois je m'y suis prise à l'avance mais ça ne m'a pas empêchée de me rétamer aux devoirs. Mes bonnes résolutions tenant toujours, j'ai décidé de continuer sur cette voie pendant les vacances.
Parlons d'une matière que j'aime particulièrement, c'est la PAO (pour ceux qui ne savent pas, c'est de la publication assistée par ordinateur). On y fait de principalement de la mise en page. Dernièrement on a dû faire un petit travail personnel qui consistait à faire nous-même la mise en page d'une recette. Une mise en page type nous a d'abord été imposé et ensuite libre cours à notre imagination.
Parlons d'une matière que j'aime particulièrement, c'est la PAO (pour ceux qui ne savent pas, c'est de la publication assistée par ordinateur). On y fait de principalement de la mise en page. Dernièrement on a dû faire un petit travail personnel qui consistait à faire nous-même la mise en page d'une recette. Une mise en page type nous a d'abord été imposé et ensuite libre cours à notre imagination.
Evidemment comme vous pouvez le constater, j'ai dû prendre des photos des documents puisque je n'ai pas de scanner et je n'ai pas pu non plus faire une capture d'écran (car je n'ai pas le logiciel [QuarkXpress] sur mon ordinateur, à plus de 1000€ ça se comprend).
Le but étant de créer une mise en page destinée à un public précis. Le mien étant les enfants! Ce n'est bien sûr pas du travail de pro mais j'ai beaucoup aimé le faire! Je trouve ça même plus amusant que de travailler sur Photoshop!
Titre: Les filles du samouraï T2: Le guet-apens
Auteur: Maya Snow
Editeur: Gallimard Jeunesse
Publication: 2009
Nombre de pages: 307
Emprunt médiathèque
Depuis la mort du sage Goku, leur maître et protecteur, Hana et Kimi sont plongées dans un profond désarroi.
Un mince espoir demeure: celui de retrouver leur mère et leur petit frère Moriyasu, bien vivants.
Reconnues par leur cruel oncle Hidehira lors des funérailles, les deux soeurs s'enfuient avec leur fidèle ami Tatsuya.
Mais les chemins qui mènent jusqu'au Mont Fuji regorgent de dangers, et les visages amis ne sont pas toujours loyaux...
Il leur faudra, une fois encore, faire preuvre d'un courage sans faille.
Maître Goku vient de mourir et des funérailles sont donc organisés. Malheureusement, c'est pendant la cérémonie que l'épouvantable oncle Hidehira va reconnaître nos deux jeunes héroïnes qui vont devoir s'échapper de leur refuge. Mais il y a un autre problème: leur oncle a découvert où se cachait leur mère et leur petit frère et compte bien les retrouver et les tuer! Dans leur fuite, Kimi et Hana décident de partir à leur rencontre et ainsi faire échouer le plan du nouveau seigneur. Le périple ne sera pas de tout repos!
J'ai eu un peu de mal à me replonger dans le monde de Kimi et Hana au début mais plus j'avançais dans l'histoire, plus j'ai trouvé ça agréable comme le premier tome. Ce deuxième opus est tout aussi plaisant que le premier! Certes, j'aimais beaucoup l'école de samouraï avec maître Goku mais quand il est mort à la fin du premier tome je me suis demandée quelle tournure allaient prendre les prochains romans.
Dès le début, l'auteur nous introduit dans les préparatifs du défunt maître et la présence de l'oncle qui semblent angoisser les deux protagonistes. C'est après avoir lu une lettre envoyée par la femme de l'ancien jito (soit la mère des héroïnes) qu'il commence à avoir des soupçons. Ces derniers se confirment au fil des pages et au fil de la cérémonie funéraire. Kimi et Hana sont démasquées, obligées de partir loin de cet endroit. Tatsuya, leur ami, les accompagne dans leur long voyage. Voyage qui sera semé d'embûches tout comme de traîtres.
De toute ma vie, je n'ai jamais pensé que j'aimerai un roman d'aventure. Ce roman m'a bien montrée le contraire. On ne s'ennuie pas, l'auteur fait en sorte de mettre de l'action quand il en faut. Des scènes de combats, des moments inattendus, des personnages mystérieux, des enlèvements, des rebondissements... Le deuxième tome finit avec des points de suspension: il reste encore des problèmes à résoudre et c'est ce qui donne envie de poursuivre la lecture avec le troisième ouvrage.
Auteur: Maya Snow
Editeur: Gallimard Jeunesse
Publication: 2009
Nombre de pages: 307
Emprunt médiathèque
Depuis la mort du sage Goku, leur maître et protecteur, Hana et Kimi sont plongées dans un profond désarroi.
Un mince espoir demeure: celui de retrouver leur mère et leur petit frère Moriyasu, bien vivants.
Reconnues par leur cruel oncle Hidehira lors des funérailles, les deux soeurs s'enfuient avec leur fidèle ami Tatsuya.
Mais les chemins qui mènent jusqu'au Mont Fuji regorgent de dangers, et les visages amis ne sont pas toujours loyaux...
Il leur faudra, une fois encore, faire preuvre d'un courage sans faille.
Maître Goku vient de mourir et des funérailles sont donc organisés. Malheureusement, c'est pendant la cérémonie que l'épouvantable oncle Hidehira va reconnaître nos deux jeunes héroïnes qui vont devoir s'échapper de leur refuge. Mais il y a un autre problème: leur oncle a découvert où se cachait leur mère et leur petit frère et compte bien les retrouver et les tuer! Dans leur fuite, Kimi et Hana décident de partir à leur rencontre et ainsi faire échouer le plan du nouveau seigneur. Le périple ne sera pas de tout repos!
J'ai eu un peu de mal à me replonger dans le monde de Kimi et Hana au début mais plus j'avançais dans l'histoire, plus j'ai trouvé ça agréable comme le premier tome. Ce deuxième opus est tout aussi plaisant que le premier! Certes, j'aimais beaucoup l'école de samouraï avec maître Goku mais quand il est mort à la fin du premier tome je me suis demandée quelle tournure allaient prendre les prochains romans.
Dès le début, l'auteur nous introduit dans les préparatifs du défunt maître et la présence de l'oncle qui semblent angoisser les deux protagonistes. C'est après avoir lu une lettre envoyée par la femme de l'ancien jito (soit la mère des héroïnes) qu'il commence à avoir des soupçons. Ces derniers se confirment au fil des pages et au fil de la cérémonie funéraire. Kimi et Hana sont démasquées, obligées de partir loin de cet endroit. Tatsuya, leur ami, les accompagne dans leur long voyage. Voyage qui sera semé d'embûches tout comme de traîtres.
De toute ma vie, je n'ai jamais pensé que j'aimerai un roman d'aventure. Ce roman m'a bien montrée le contraire. On ne s'ennuie pas, l'auteur fait en sorte de mettre de l'action quand il en faut. Des scènes de combats, des moments inattendus, des personnages mystérieux, des enlèvements, des rebondissements... Le deuxième tome finit avec des points de suspension: il reste encore des problèmes à résoudre et c'est ce qui donne envie de poursuivre la lecture avec le troisième ouvrage.
Hop, voici un petit article pour résumer les 2 premières semaines en cours! Je me rappelle encore du premier jour où j'ai dû affronter plusieurs visages inconnus. C'était un premier jour banal, les gens étaient sympas et je n'étais pas trop larguée avec les leçons. Bon maintenant c'est carrément la routine mais que voulez-vous, c'est la vie. Depuis, je me suis fait quelques connaissances. Je n'irai pas jusqu'à dire des amis parce que je dois l'avouer j'en ai ma claque de devoir sympathiser à tout bout de champ (anthipathique inside) et quand j'essaie de faire des efforts, je constate que c'est clairement inutile alors je me dis que je m'en fiche, je pense qu'à ma gueule et dès que les cours sont finis je me casse, point barre.
Mon ancienne classe me manque beaucoup. Il y avait des filles et des garçons, tout le monde parlait à tout le monde, on organisait des soirées parfois. C'était cool. Bon ça va, je tire pas trop la tronche. Des fois, j'ai l'impression d'être dépassée et que je suis trop vieille pour fréquenter certaines personnes. C'est peut-être pour que ça que certaines conversations m'intéressent si peu. Je suis blasée.
A côté de ça, heureusement qu'il y a les cours parce que ça me distrait de tout ce qu'il y a autour. Une semaine sur deux, l'emploi du temps et léger et une semaine sur deux, il est vraiment pesant (les 32 heures habituelles). On retrouve des cours plus ou moins intéressants, plus ou moins classiques ou plus ou moins techniques:
● Technique de fabrication: il y a 3 parties distinctes, la partie texte, la partie image et la partie livre. Pour la première, cela concerne l'étude des typographies (pour le peu que j'ai pu voir), et la seconde concerne l'image et ses caractéristiques, l'imprimerie, etc.
● Expression graphique: jusque là nous avons fait de la typographie expressive (que j'ai mentionné dans un ancien article). C'est choisir une police de caractères bien spécifique afin de transmettre un sentiment, une idée par exemple. Le dernier travail en date consiste à choisir une typographie qui correspond au message transmis par la photographie qui nous a été donné (chacun ayant une photo différente, sinon ce ne serait pas drôle).
● Informatique bureautique: bon ça c'est plutôt du travail sur tableur. Très passionnant.
● Français: je ne vous fais pas de dessins.
● Economie et gestion: l'intitulé parle de lui-même.
● Données éditoriales: on étudie tout ce qui touche les livres. En ce moment, on a un mini projet qui consiste à créer un guide vie pratique sur un des thèmes imposés: cuisine, déco, jardinage, bricolage, etc. J'ai bien évidemment choisi cuisine. Et donc pour l'instant, on doit faire une étude de marché. Le truc le plus relou.
● Technologie (de quoi?): on étudie les procédés d'impression, de fabrication, etc.
● Préparation de copies: c'est un cours très intéressant mais comme il est placé en fin de journée, c'est pas top. Cette matière s'apparente à la correction de copies mais aussi l'étude des règles typographiques (s'il faut placer une majuscule à tel endroit, écrit-on monsieur ou M., c'est en fait très subtil) et de la langue française. On en apprend des choses!
● Info/Pao: Il y a encore deux parties, de la PAO (mise en page et traitement de texte) et l'autre Photoshop.
● Anglais: ma matière préférée!
J'ai récemment découvert que plusieurs sorties prochaines vont être organisées, à savoir le salon de la littérature jeunesse à Montreuil, le festival de la BD à Angoulême et aussi le salon du livre à Paris. J'espère que ça va réellement se passer!
On a fait tout le tour!